Objets de jalousies parfois ou de critiques, le nombre de frontaliers ne cesse d’augmenter…
Qui sont ces « émigrés du quotidien » qui encombrent les routes matin et soir, troublent la quiétude des petits villages genevois et qui viennent prendre la place des locaux ? Un air de déjà entendu hélas qui est bien dans l’air du temps.